5 choses que vous devez savoir avant d’essayer le Shibari

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Essayer le Shibari pour la première fois peut être intimidant à la fois pour les riggers (ceux qui nouent) et pour les modèles (ceux qui sont attachés).

C’est comme si vous deviez connaître une centaine de motifs, vous plier en un bretzel et n’utiliser que des cordes de jute traitées à la main importées du Japon, mais heureusement, ce n’est pas vrai !

Vous pouvez avoir de superbes sessions avec un seul nœud, une flexibilité moyenne et la cravate la plus proche.

Pour vous aider à décider si vous voulez vous mouiller les pieds, voici cinq choses que je pense que vous devriez savoir avant de commencer avec le Shibari.

1. Le Shibari est plus qu’une simple esthétique

Beaucoup de personnes qui découvrent le Shibari/Kinbaku pour la première fois sont fascinées par le travail détaillé des nœuds et pensent que c’est tout ce qu’il y a à savoir. Cependant, que vous l’appeliez Shibari (« attacher ») ou Kinbaku (« liens serrés »), l’idée commune semble être que le bondage japonais est une façon de communiquer nos sentiments avec nos partenaires. Le Shibari est une forme d’art qui va au-delà de l’exécution mécanique d’une série d’étapes, il s’agit de mettre vos sentiments dans ce que vous faites.

2. Il y a tant à apprécier et la liste ne cesse de s’allonger

Au cours de votre voyage dans le monde du Shibari, vous pourriez rencontrer des personnes qui apprécient le Shibari pour différentes raisons. Certains aiment la beauté de voir leur partenaire lié, d’autres apprécient la soumission à un partenaire dominant, certains aiment le défi créatif d’adapter leurs techniques à différents partenaires, et d’autres encore recherchent une expérience émotionnelle profonde. Il n’y a pas de « bonne » ou de « mauvaise » façon de pratiquer le Shibari, vos désirs sont valides.

3. Le bondage (et autres pratiques) peut être dangereux

Oui, même le bondage au sol. Lorsque vous sautez la formation et vous précipitez pour jouer au-delà de votre niveau de compétence, le partenaire lié peut être victime d’accidents tels que l’asphyxie, les blessures dues à une chute, la perte de circulation avec des cordes trop serrées, les lésions nerveuses, la dislocation et même la mort. Même avec une formation, ces risques persistent. Heureusement, il existe des ateliers qui expliquent le côté technique du bondage pour le rendre plus sûr.

4. Vous pouvez personnaliser vos sessions de Shibari comme des buffets coquins

Les médias grand public ne montrent pas toujours une image complète du Shibari (ou du bondage en général), il est donc souvent perçu comme une série de modèles fixes attachées avec des cordes particulières plutôt qu’une session personnalisable. Vous pouvez discuter de la sexualité de votre scène, de l’ambiance ou de l’intensité que vous voulez pour l’expérience, si vous autorisez la photographie et qui peut garder des copies, s’il y a certaines positions et sensations que vous ne voulez pas impliquer, et plus encore.

5. Le Shibari est maintenant numérique. Suivez et apprenez de vos artistes préférés en ligne !

Avec les cours en ligne, les archives vidéo, les performances en direct et les Q&R avec les maîtres, le Shibari est beaucoup plus accessible maintenant qu’il ne l’était il y a quelques mois. De nombreuses écoles de Shibari qui étaient auparavant uniquement physiques ont maintenant lancé leur propre série de cours en ligne, connectant des étudiants du monde entier avec de nombreux instructeurs de qualité. C’est une excellente occasion pour vous d’apprendre directement des enseignants reconnus internationalement depuis le confort de votre propre maison.

Vous pouvez même suivre une initiation vidéo complète au Shibari/kinbaku sur le site même

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